Thédas est bordé à l’est par l’Océan d’Amaranthine, à l’ouest par les Monts Trishan et ceux du Chasseur Cornu, au sud par les terres enneigées au-delà des étendues sauvages Korcari, et au nord par les Donarks. Le nom “Thédas” est d’origine Tévintide. Il désignait autrefois les terres qui bordaient l’Empire. Alors que l’Empire perdait sa mainmise sur les nations conquises, de plus en plus de terres devinrent “Thedas”. Finalement, ceci s’appliqua à tout le continent.
La partie septentrionale du continent est divisé entre l’Anderfel, l’Empire Tévintide, Antiva et Rivain. Les îles de Par Vollen et de Séhéron, à quelques encablures de la côte, sont détenues par les Qunaris. Le centre de Thédas est une large bande composée de cités-état connue sous le nom de Marches Libres. On y trouve aussi les na! ons de Nevarra et d’Orlais. Au sud-est, on trouve Ferelden.
Ce qui se trouve au-delà des étendues enneigées du sud est un mystère. Les températures glaciales et les terres désertiques ont tenu éloigné même le plus intrépide des cartographes. De la même manière les étendues à l’ouest lointain de l’Anderfel n’ont jamais vraiment été explorées, même par les Andres. Nous ne savons pas si ces steppes arides sont au pied de montagnes, ou si elles s’étendent jusqu’à une mer sans nom.
D’autres terres, d’autres continents ou d’autres îles doivent exister. Peut-être se trouvent-ils par delà l’Océan d’Amaranthine ou au nord de Par Vollen. Après tout, les Qunaris ne sont pas arrivés de nulle-part en Thédas. Mais au-delà de cette déduction, nous ne savons rien. Un jour, la fausseté de l’idée selon laquelle le “monde” ne se compose que des terres que nous connaissons sera prouvée. Nul doute que cela nous plongera tous dans le désarroi.
Tiré de A la Poursuite du Savoir, les Voyages d’un Érudit de la Chantrie, par le Frère Genitivi
La partie septentrionale du continent est divisé entre l’Anderfel, l’Empire Tévintide, Antiva et Rivain. Les îles de Par Vollen et de Séhéron, à quelques encablures de la côte, sont détenues par les Qunaris. Le centre de Thédas est une large bande composée de cités-état connue sous le nom de Marches Libres. On y trouve aussi les na! ons de Nevarra et d’Orlais. Au sud-est, on trouve Ferelden.
Ce qui se trouve au-delà des étendues enneigées du sud est un mystère. Les températures glaciales et les terres désertiques ont tenu éloigné même le plus intrépide des cartographes. De la même manière les étendues à l’ouest lointain de l’Anderfel n’ont jamais vraiment été explorées, même par les Andres. Nous ne savons pas si ces steppes arides sont au pied de montagnes, ou si elles s’étendent jusqu’à une mer sans nom.
D’autres terres, d’autres continents ou d’autres îles doivent exister. Peut-être se trouvent-ils par delà l’Océan d’Amaranthine ou au nord de Par Vollen. Après tout, les Qunaris ne sont pas arrivés de nulle-part en Thédas. Mais au-delà de cette déduction, nous ne savons rien. Un jour, la fausseté de l’idée selon laquelle le “monde” ne se compose que des terres que nous connaissons sera prouvée. Nul doute que cela nous plongera tous dans le désarroi.
Tiré de A la Poursuite du Savoir, les Voyages d’un Érudit de la Chantrie, par le Frère Genitivi
Traduction : Kobbold