Les chiens font partie intégrante de la culture féreldienne. Parmi eux, les plus prisés sont de loin les mabaris, une espèce vieille comme les légendes, qu’on dit descendre des loups qui servaient Dane. Réputés pour leur intelligence et leur loyauté, ces chiens ne sont pas qu’une arme de guerre doublée d’un signe extérieur de richesse : c’est l’animal qui choisit son maître, avec qui il passera le restant de sa vie. Partout en Férelden, être flanqué d’un mabari est un signe indiscutable de valeur.
Les mabaris sont également un acteur important de la stratégie militaire féreldienne. Ces molosses dressés peuvent sans mal désarçonner un chevalier ou rompre une formation de vougiers, voire provoquer la panique parmi les soldats les plus endurcis, saisis de terreur face au déluge de crocs et d’aboiements.
Les mabaris sont également un acteur important de la stratégie militaire féreldienne. Ces molosses dressés peuvent sans mal désarçonner un chevalier ou rompre une formation de vougiers, voire provoquer la panique parmi les soldats les plus endurcis, saisis de terreur face au déluge de crocs et d’aboiements.
Souvent, les visiteurs et les voyageurs à Férelden interrogent les habitants et les érudits pour comprendre l'omniprésence des chiens dans le royaume. Dans tous les coins civilisés de Thédas, les observateurs avisés notent que les chiens sont employés dans la chasse au gibier, pour protéger les granges et les greniers de la vermine, aider dans l'élevage du bétail, garder les maisons et dans les montagnes, ils sont encore utilisés comme bêtes de somme. C'est simplement que les Féreldiens aiment témoigner de leur appréciation du travail de leurs chiens.
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