Ab'rak et Olaf se dirigèrent vers les points élevés de Magnimar. Olaf se positionna au sommet de la rampe qui permet de dominer la partie basse et d'y accéder rapidement. Ab'rak plus agile a prit place sur l'Irarche, le Pont Gigantesque dont les ruines s'élèvent à plus de 90 mètres du sol. Les deux points étant en théorie sur la trajectoire des corbeaux qui devraient se rendre au nord-est de la ville, du moins selon le juge. Scalarel, le plus rapide du groupe se positionna dans les jardins de la Source de l'Oracle dont la zone dégagée devrait lui permettre de voir le passage des corbeaux. Son objectif étant de courir à travers les plus larges des artères pour suivre les corbeaux.
En milieu d'après-midi, Lupius positionné dans le dernier étage de la scierie, lâcha le premier des 3 corbeaux. Celui-ci fila vers le nord-est volant au-dessus des docks et se dirigeant vers l'Irarche. Scalarel l'aperçu et se mit à courir sur la grande rue qui sépare les docks bruyants et encombrés du quartier du Pied de Falaise animé et fréquenté. Sa course l'amena au Bazar des Voiles où tous les négociants du monde viennent vendre leurs produits. Là il perdit du vu le corbeau. Ab'rak plus intéressé à sauté de moellons en moellons ne vit pas l'oiseau. Seul Olalf distingua un oiseau qui pouvait être l'animal lancé depuis la scierie et qui passait sous l'Irarche. Lupuis de son côté avait sorti sa longue-vue minuscule aux yeux des humains. Mais la course de l'oiseau lui échappa.
Lupius décida de lancer un deuxième oiseau qui prit la même course que le premier. Cette fois-ci, Ab'rak distingua nettement l'oiseau qui passait sous l'Irarche. Il couru comme un dératé de l'autre côté du point mais ne vis pas l'oiseau ressortir. Scalarel décida de poursuivre son chemin et ses pas l'amenèrent dans l'Ombre un quartier malfamé situé sous l'Irarche. Lorsqu'il vit le corbeau voler sous l'ombre du pont, il sut que son intuition était la bonne. Le nain avait décider de descendre la rampe d'un pas ferme et de se mettre à mi-distance du haut et du bas. Torag l'avait béni car il distingua le vol du corbeau. Le nain décida de continuer à descendre. Lupius avait vu cette fois-ci le corbeau plongé sous le Pont Gigantesque.
Lorsque le troisième corbeau fut lâché tous savaient déjà où regardé et il fut plus facile de suivre le vol de l'oiseau. Ab'rak amateur d'escalade se positionna sous l'intérêt des touristes en équilibre pour voir sous le pont. Il vit le corbeau plongé vers le milieu du quartier du Pied du Pont. Scalarel vit le vol du troisième corbeau et le suivit sous les regards avides des passants entre tripots sordides et bordels miteux. L'elfe arriva à une tour branlante de pierre et de métal rouillé. Une horloge au sommet de la tour indique une mauvaise heure. Au-dessus un ange de pierre aux ailes effritées se penche dangereusement. L'elfe devine un corbeau au sommet de la tour se tenant sur un échafaudage de bois au sommet de la tour.
Olaf arriva dans la zone sordide sous le pont. Il aperçu le corbeau. Ab'rak qui avait descendu ventre à terre remarqua la silhouette trapue du prêtre. S'enfonçant dans le quartier dangereux, les deux "héros" finirent par arriver au bout de plusieurs minutes à une tour branlante. Lupius descendit le plus vite possible les escaliers et se mit à la recherche d'un homme à cheval tout en remontant vers le nord. Il finit par tomber sur un coursier qui avait fini sa journée. Après un baratin diabolique, le halfelin décida l'homme à l'amener au nord-est. En revanche ce dernier refusa de pénétrer avec sa monture sous l'Ombre. Le barde devrait se débrouiller tout seul.
En milieu d'après-midi, Lupius positionné dans le dernier étage de la scierie, lâcha le premier des 3 corbeaux. Celui-ci fila vers le nord-est volant au-dessus des docks et se dirigeant vers l'Irarche. Scalarel l'aperçu et se mit à courir sur la grande rue qui sépare les docks bruyants et encombrés du quartier du Pied de Falaise animé et fréquenté. Sa course l'amena au Bazar des Voiles où tous les négociants du monde viennent vendre leurs produits. Là il perdit du vu le corbeau. Ab'rak plus intéressé à sauté de moellons en moellons ne vit pas l'oiseau. Seul Olalf distingua un oiseau qui pouvait être l'animal lancé depuis la scierie et qui passait sous l'Irarche. Lupuis de son côté avait sorti sa longue-vue minuscule aux yeux des humains. Mais la course de l'oiseau lui échappa.
Lupius décida de lancer un deuxième oiseau qui prit la même course que le premier. Cette fois-ci, Ab'rak distingua nettement l'oiseau qui passait sous l'Irarche. Il couru comme un dératé de l'autre côté du point mais ne vis pas l'oiseau ressortir. Scalarel décida de poursuivre son chemin et ses pas l'amenèrent dans l'Ombre un quartier malfamé situé sous l'Irarche. Lorsqu'il vit le corbeau voler sous l'ombre du pont, il sut que son intuition était la bonne. Le nain avait décider de descendre la rampe d'un pas ferme et de se mettre à mi-distance du haut et du bas. Torag l'avait béni car il distingua le vol du corbeau. Le nain décida de continuer à descendre. Lupius avait vu cette fois-ci le corbeau plongé sous le Pont Gigantesque.
Lorsque le troisième corbeau fut lâché tous savaient déjà où regardé et il fut plus facile de suivre le vol de l'oiseau. Ab'rak amateur d'escalade se positionna sous l'intérêt des touristes en équilibre pour voir sous le pont. Il vit le corbeau plongé vers le milieu du quartier du Pied du Pont. Scalarel vit le vol du troisième corbeau et le suivit sous les regards avides des passants entre tripots sordides et bordels miteux. L'elfe arriva à une tour branlante de pierre et de métal rouillé. Une horloge au sommet de la tour indique une mauvaise heure. Au-dessus un ange de pierre aux ailes effritées se penche dangereusement. L'elfe devine un corbeau au sommet de la tour se tenant sur un échafaudage de bois au sommet de la tour.
Olaf arriva dans la zone sordide sous le pont. Il aperçu le corbeau. Ab'rak qui avait descendu ventre à terre remarqua la silhouette trapue du prêtre. S'enfonçant dans le quartier dangereux, les deux "héros" finirent par arriver au bout de plusieurs minutes à une tour branlante. Lupius descendit le plus vite possible les escaliers et se mit à la recherche d'un homme à cheval tout en remontant vers le nord. Il finit par tomber sur un coursier qui avait fini sa journée. Après un baratin diabolique, le halfelin décida l'homme à l'amener au nord-est. En revanche ce dernier refusa de pénétrer avec sa monture sous l'Ombre. Le barde devrait se débrouiller tout seul.
Scalarel arrive le premier. Que fait t'il ?
Olaf et Ab'rak arrivent en deuxième. Que font t'ils ?
Lupius finira par arriver. Que fera t'il ?
Scalarel resta caché pour observer le moment où quelqu¹un viendrait récupérer le corbeau et sa théorique missive. Le corbeau aperçu plutôt semblait être rentré à l'intérieur par une ouverture dans le mur au niveau du toit. L'elfe attendit également le reste du groupe en faisant un état des lieux, porte fenêtres. Le tour semblait à tout instant être sur le point de s'écroulait ce qui devait expliquer le fait que le peu de passant faisait un large détour. La tour était faite de calcaire, de bois renforcé et de bandes de fer.
Ab'rak fidèle aux consignes d'Olaf resta avec lui, le nain trapu et l'énorme demi-orc ne devant avoir aucune difficulté à circuler sans se faire importuner dans ce coin mal famé. Arrivés au pied de la tour Ab' chercha si les aut' étaient là. Peu de temps après, Scalarel leur fit signe. Et retrouvant ses instincts de roublard, le demi-orque nota la disposition des lieux, les endroits accessibles pour un grimpeur comme lui, l'entourage de la tour, les gens qui pourraient les regarder.
Il proposa au nain de jeter un oeil à la porte sans chercher à entrer mais pour vérifier l'état de la serrure et les pièges éventuels.
Le temps que les trois aventuriers prennent leur place, Lupius rédigea quelques courriers avant de lâcher le premier corbeau. Au troisième, grâce à ses observations et sa connaissance de longue date de la ville, il estima que les corbeaux se rendaient vers une sorte de vielle tour du district de l'Ombre. Il se chargea au minimum, mais s'assura qu'il emportait ses outils de voleur, son équipement d'escalade et le masque de Gandrenard. Le coursier qui le prit en charge, le déposa juste avant l'Ombre, ce qui ne l'étonna aucunement, connaissant la sombre réputation des lieux. Avant de partir vers ce quartier que chacun cherchait à éviter, Lupius confia les lettres qu'il avait rédigées avant de libérer les corbeaux, et pour quelques pièces, chargea le coursier de les livrer à chacun des destinataires. Avant de pénétrer dans l'Ombre, il acheta à fort prix, une cape uséee, rapiécée, sale, de couleur verte sombre, capuchonnée que portait un mendiant. Il revêtu cette dernière après l'avoir raccourcie à coups de dague, et cacha son visage sous la large capuche. A titre de précaution complémentaire, il mit le masque de Gandrenard. Dans ce quartier lugubre, avec cette tenue, il espérait pouvoir passer inaperçu, ou au pire, intimider les éventuels curieux.
Il s'approcha du bâtiment qu'il soupçonnait d'être celui d'accueil des trois volatiles. Il restait conscient que les aventuriers devaient y être parvenus bien avant lui. Peut-être que ces derniers attendaient la nuit pour tenter une intrusion, à en croire les consignes de prudence du prêtre. Néanmoins, avec Abr'ak, il ne pouvait être sûre de rien. A toute fin utile, il rechercha leur présence, mais aussi des éventuelles traces d'effraction sur le bâtiment suspect, dans la plus grande discrétion.
Scalarel fut le premier à reconnaitre le barde malgré son travestissement et il l'apostropha doucement. Lupius reconnu la voix de Scalarel qu'il finit par apercevoir. Discrètement il le rejoignit.
- Savez-vous où se posent les corbeaux voyageurs ?
Scalarel désigna une ouverture dans le mur au niveau du toit. Lupius devint tout excité, questionnant et formulant les réponses.
- Bon, où sont les autres ? On sait pas, c'est pas grave, on s'en passera. On y va ? Je grimpe là haut. Je me débrouille en escalade d'autant que je suis équipé pour. Avec la corde, je t'assure une sécurité. Comme cela, en regardant par l'ouverture, nous aurons déjà une première idée que ce qui s'y trouve. A tous les coups, l'endroit doit regorger de trésors : livres, parchemins, cartes, et plein d'autres choses qui devraient nous aider dans la compréhension du savoir thassilonien que cette femme et ses complices utilisent pour leurs funestes desseins dont nous n'avons qu'une vue partielle.
Tout en parlant, l'halfelin se préparait. Prisonnier de son éternelle curiosité, de son insatiable soif de savoir, il en oublia toute notion de danger. Ayant achevé ses préparatifs, plein d'enthousiasme, il se redressa et expliqua ce qu'ils allaient faire.
Le barde n'avait pas remarqué Olaf en retrait et le demi-orque qui s'apprétait à se faufiler vers la tour.
- Quand je serai au pied du bâtiment, tu me rejoins. Pendant ce temps, je commence à grimper, et à environ trois mètres de hauteurs, je laisserai pendre la corde que j'aurais fixé à une dégaine. Tu pourras ainsi monter plus facilement. Et nous continuons ainsi jusqu'en haut. En cas de nécessité, nous pourrons toujours redescendre en rappel. C'est parti !
- Pour une fois reste tranquille, tu dois attendre les autres comme prévu ! Tu fais encore un de tes caprices et je te greffe définitivement ton masque !
- Bon, bon, doucement, c'est bon, j'attends, ne vous fâchez pas.
Puis après d'interminables, non, après une interminable seconde d'attente :
- Quand est-ce que nous y allons ? dites-moi Monsieur Scalarel ? Que font-ils les autres ? Se sera long ?
- Du calme dit Olaf à voix très basse en regardant Lupius et en s'enfonçant dans l'ombre du porche. Laissons Abrak vérifier les serrures et nous déciderons après de la suite des évènements.
La surface de la tour semblait propice à l'escalade mais la surface grêlée était couverte de suie et de crasse. Le demi-orque et le barde tombèrent d'accord sur le fait que de nombreuses pierres devaient être descellées. Outre des ouvertures au sommet et au premier tiers de la tour, la double porte d'entrée semblait en mauvais état à l'image du reste du lieu. Le demi-orque s'approcha avec le barde sur les talons. La porte semblait fermée par une serrure rouillée. Elle avait pris du gauche. Peu de chance qu'elle ne soit piégée. La pièce au delà de la porte était silencieuse....
Ab'rak fidèle aux consignes d'Olaf resta avec lui, le nain trapu et l'énorme demi-orc ne devant avoir aucune difficulté à circuler sans se faire importuner dans ce coin mal famé. Arrivés au pied de la tour Ab' chercha si les aut' étaient là. Peu de temps après, Scalarel leur fit signe. Et retrouvant ses instincts de roublard, le demi-orque nota la disposition des lieux, les endroits accessibles pour un grimpeur comme lui, l'entourage de la tour, les gens qui pourraient les regarder.
Il proposa au nain de jeter un oeil à la porte sans chercher à entrer mais pour vérifier l'état de la serrure et les pièges éventuels.
Le temps que les trois aventuriers prennent leur place, Lupius rédigea quelques courriers avant de lâcher le premier corbeau. Au troisième, grâce à ses observations et sa connaissance de longue date de la ville, il estima que les corbeaux se rendaient vers une sorte de vielle tour du district de l'Ombre. Il se chargea au minimum, mais s'assura qu'il emportait ses outils de voleur, son équipement d'escalade et le masque de Gandrenard. Le coursier qui le prit en charge, le déposa juste avant l'Ombre, ce qui ne l'étonna aucunement, connaissant la sombre réputation des lieux. Avant de partir vers ce quartier que chacun cherchait à éviter, Lupius confia les lettres qu'il avait rédigées avant de libérer les corbeaux, et pour quelques pièces, chargea le coursier de les livrer à chacun des destinataires. Avant de pénétrer dans l'Ombre, il acheta à fort prix, une cape uséee, rapiécée, sale, de couleur verte sombre, capuchonnée que portait un mendiant. Il revêtu cette dernière après l'avoir raccourcie à coups de dague, et cacha son visage sous la large capuche. A titre de précaution complémentaire, il mit le masque de Gandrenard. Dans ce quartier lugubre, avec cette tenue, il espérait pouvoir passer inaperçu, ou au pire, intimider les éventuels curieux.
Il s'approcha du bâtiment qu'il soupçonnait d'être celui d'accueil des trois volatiles. Il restait conscient que les aventuriers devaient y être parvenus bien avant lui. Peut-être que ces derniers attendaient la nuit pour tenter une intrusion, à en croire les consignes de prudence du prêtre. Néanmoins, avec Abr'ak, il ne pouvait être sûre de rien. A toute fin utile, il rechercha leur présence, mais aussi des éventuelles traces d'effraction sur le bâtiment suspect, dans la plus grande discrétion.
Scalarel fut le premier à reconnaitre le barde malgré son travestissement et il l'apostropha doucement. Lupius reconnu la voix de Scalarel qu'il finit par apercevoir. Discrètement il le rejoignit.
- Savez-vous où se posent les corbeaux voyageurs ?
Scalarel désigna une ouverture dans le mur au niveau du toit. Lupius devint tout excité, questionnant et formulant les réponses.
- Bon, où sont les autres ? On sait pas, c'est pas grave, on s'en passera. On y va ? Je grimpe là haut. Je me débrouille en escalade d'autant que je suis équipé pour. Avec la corde, je t'assure une sécurité. Comme cela, en regardant par l'ouverture, nous aurons déjà une première idée que ce qui s'y trouve. A tous les coups, l'endroit doit regorger de trésors : livres, parchemins, cartes, et plein d'autres choses qui devraient nous aider dans la compréhension du savoir thassilonien que cette femme et ses complices utilisent pour leurs funestes desseins dont nous n'avons qu'une vue partielle.
Tout en parlant, l'halfelin se préparait. Prisonnier de son éternelle curiosité, de son insatiable soif de savoir, il en oublia toute notion de danger. Ayant achevé ses préparatifs, plein d'enthousiasme, il se redressa et expliqua ce qu'ils allaient faire.
Le barde n'avait pas remarqué Olaf en retrait et le demi-orque qui s'apprétait à se faufiler vers la tour.
- Quand je serai au pied du bâtiment, tu me rejoins. Pendant ce temps, je commence à grimper, et à environ trois mètres de hauteurs, je laisserai pendre la corde que j'aurais fixé à une dégaine. Tu pourras ainsi monter plus facilement. Et nous continuons ainsi jusqu'en haut. En cas de nécessité, nous pourrons toujours redescendre en rappel. C'est parti !
- Pour une fois reste tranquille, tu dois attendre les autres comme prévu ! Tu fais encore un de tes caprices et je te greffe définitivement ton masque !
- Bon, bon, doucement, c'est bon, j'attends, ne vous fâchez pas.
Puis après d'interminables, non, après une interminable seconde d'attente :
- Quand est-ce que nous y allons ? dites-moi Monsieur Scalarel ? Que font-ils les autres ? Se sera long ?
- Du calme dit Olaf à voix très basse en regardant Lupius et en s'enfonçant dans l'ombre du porche. Laissons Abrak vérifier les serrures et nous déciderons après de la suite des évènements.
La surface de la tour semblait propice à l'escalade mais la surface grêlée était couverte de suie et de crasse. Le demi-orque et le barde tombèrent d'accord sur le fait que de nombreuses pierres devaient être descellées. Outre des ouvertures au sommet et au premier tiers de la tour, la double porte d'entrée semblait en mauvais état à l'image du reste du lieu. Le demi-orque s'approcha avec le barde sur les talons. La porte semblait fermée par une serrure rouillée. Elle avait pris du gauche. Peu de chance qu'elle ne soit piégée. La pièce au delà de la porte était silencieuse....
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