Olaf se réveilla la tête lourde. Il avait veillé une bonne partie de la nuit l'elfe fiévreux et grâce à ses soins attentifs, Scalarel semblait allé mieux. En revanche, le prêtre nain, avait du avouer à lui-même que malgré sa solide constitution, il ne se sentait pas bien. Il avait décider d'aller s'allonger. Très vite le sommeil l'avait capturé.
Le nain se demandait si c'était le matin ou le soir. L'odeur de bière fraiche et des biscuits salé acheva de le réveiller. Il mangea et s'habilla puis décida de finir le tonnelet et d'enfourner le dernier biscuit dans sa poche. Il se sentait mieux. A l'étage il croisa la halfeline qui tenait l'auberge avec la jeune Ameiko qui lui appris ce que ces amis étaient partis sans lui, préférant le laisser se reposer.
En descendant dans la salle commune, Olaf vit la jeune elfe qu'il avait contribué à sauver des mains des gobelins, en grande discussion avec un couple de marchands qui tenait des propos mélodramatiques sur un cheval volé par des gobelins. Profitant de l'arrivée du nain, Shalelu alla saluer le prêtre mettant ainsi un terme aux récriminations des deux marchands. L'elfe expliqua qu'elle s'apprêtait à se rendre au Pic-aux-chardons pour trouver la trace des amis du nain et leur prêter main-forte contre ces saletés de gobleins. Olaf commanda une autre bière qu'il avala d'un trait et se porta volontaire pour accompagner la jeune rodeuse. Il se sentait beaucoup mieux.
Une demi-heure plus tard, l'elfe et le nain étaient en route pour le nord-est. L'elfe trouva rapidement la trace des amis du nain qui remontait une rivière à travers un bois touffu et épineux et direction du nord (et de la mer). Les deux compères d'un jour arrivèrent à un cul-de-sac au milieu des chardons. La mer était proche car on entendait le ressac. Le nain découvrit un passage à travers les taillis épineux qui les menèrent dans un labyrinthe végétal. Pister les traces des compagnons du nain était facile : il suffisait de suivre les cadavres de gobelins. Shalelu et Olaf finirent par déboucher sur un pont de cordes et de planches qui enjambait la mer. Ils aperçurent les silhouettes des personnages qui progressaient sur les toits d'un curieux assemblage de planches, de bois de bateau formant une improbable forteresse nichée sur un improbable piton rocheux.
En descendant dans la salle commune, Olaf vit la jeune elfe qu'il avait contribué à sauver des mains des gobelins, en grande discussion avec un couple de marchands qui tenait des propos mélodramatiques sur un cheval volé par des gobelins. Profitant de l'arrivée du nain, Shalelu alla saluer le prêtre mettant ainsi un terme aux récriminations des deux marchands. L'elfe expliqua qu'elle s'apprêtait à se rendre au Pic-aux-chardons pour trouver la trace des amis du nain et leur prêter main-forte contre ces saletés de gobleins. Olaf commanda une autre bière qu'il avala d'un trait et se porta volontaire pour accompagner la jeune rodeuse. Il se sentait beaucoup mieux.
Une demi-heure plus tard, l'elfe et le nain étaient en route pour le nord-est. L'elfe trouva rapidement la trace des amis du nain qui remontait une rivière à travers un bois touffu et épineux et direction du nord (et de la mer). Les deux compères d'un jour arrivèrent à un cul-de-sac au milieu des chardons. La mer était proche car on entendait le ressac. Le nain découvrit un passage à travers les taillis épineux qui les menèrent dans un labyrinthe végétal. Pister les traces des compagnons du nain était facile : il suffisait de suivre les cadavres de gobelins. Shalelu et Olaf finirent par déboucher sur un pont de cordes et de planches qui enjambait la mer. Ils aperçurent les silhouettes des personnages qui progressaient sur les toits d'un curieux assemblage de planches, de bois de bateau formant une improbable forteresse nichée sur un improbable piton rocheux.